AchetezLot de 10 cartes Ă  gratter Ă  faire soi-mĂȘme pour faire soi-mĂȘme une grossesse - Inscription « Baby-Du » (français non garanti): & retours gratuits possibles (voir conditions) Choisir vos prĂ©fĂ©rences en matiĂšre de cookies. Nous utilisons des cookies et des outils similaires qui sont nĂ©cessaires pour vous permettre d'effectuer des achats, pour Voirplus d'idĂ©es sur le thĂšme photos grossesse, grossesse, idĂ©es photos grossesse. Pinterest. Aujourd'hui. Explorer. Lorsque les rĂ©sultats de saisie automatique sont disponibles, utilisez les flĂšches Haut et Bas pour vous dĂ©placer et la touche EntrĂ©e pour sĂ©lectionner. Pour les utilisateurs d'un appareil tactile, explorez en appuyant ou en balayant. Se connecter. S'inscrire. DesidĂ©es pour faire vous-mĂȘme vos photos de grossesse. 7/11/2017 0 Comments Pour commencer il est pri-mor-dial de faire des photos de vous enceinte ! Je sais de quoi je parle ! Je regrette tellement aujourd'hui de ne pas m'ĂȘtre prise en photo lors ma premiĂšre grossesse. En plus, de ne pas avoir de souvenir pour moi, je n'ai rien Ă  montrer Ă  ma premiĂšre petite fille, pas 4 Monogramme de photos. Pour faire un monogramme de photos, vous aurez besoin d’un peu de journal, de photos et de colle. Une idĂ©e de cadeaux vraiment facile Ă  faire ! Vous pouvez acheter les lettres en bois dans Ă  peu prĂšs Vay Tiền TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chỉ Cáș§n Cmnd Hỗ Trợ Nợ Xáș„u. IdĂ©e photo grossesse le contre-jour Une idĂ©e de photo grossesse qui permet de vĂ©ritablement mettre en valeur votre joli ventre au sein d'une scĂ©nographie originale et artistique. Posez de profil devant une fenĂȘtre et amusez-vous Ă  tenter plusieurs combinaisons pour obtenir la photo parfaite. La photo de grossesse en couple Faire participer le papa Ă  votre session photo grossesse permet de faire de superbes clichĂ©s. Une petite suggestion posez avec le papa de votre enfant et posez tous les deux vos mains sur votre ventre. Le ou la photographe ne capturant que le ventre avec les mains posĂ©es dessus. La premiĂšre photo de famille Ă  trois ! L'Ă©volution de la grossesse Un concept particuliĂšrement populaire ! Le but prendre 1 photo par mois jusqu'Ă  l'accouchement. Une photo au tout dĂ©but, une photo au deuxiĂšme mois, etc... La derniĂšre pouvant vous reprĂ©senter en tenant bĂ©bĂ© ! Une idĂ©e photo grossesse ludique qui amusera Ă  n'en pas douter vos proches. Le genre qui rend particuliĂšrement bien en agrandissement, sous la forme d'une sorte de mosaĂŻque ! La photo de grossesse en famille Une bonne idĂ©e photo grossesse en famille tout le monde est conviĂ© ! Le couple bien sĂ»r mais aussi vos autres enfants si vous en avez d'autres. On peut mĂȘme pourquoi pas fĂ©dĂ©rer toute la famille pour immortaliser ce moment unique de la vie et faire ensuite agrandir la photo pour l'afficher ou pour l'offrir. La possibilitĂ© d'Ă©galement faire de belles mises en scĂšne originales. IdĂ©e photo grossesse lĂąchez-vous ! Faire de belles photos quand on est enceinte peut aussi rimer avec humour et audace ! On peut ainsi jouer Ă  fond sur le dĂ©calage, avec le papa de votre futur bĂ©bĂ©, vos amis, les grands-parents de l'enfant, votre ami Ă  quatre pattes ou en solo. On peut ainsi se dĂ©guiser, faire des poses marrantes ou poser devant un fond vert pour ensuite donner libre-court Ă  son imagination Ă  l'aide d'un logiciel informatique. Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-LardAdonys MontgomeryG. TechniqueHarryPotter2005 Re [Habitation] Domaine GrisAdonys Montgomery, le Dim 29 Avr - 1423 Contenu explicite sexualitĂ©Ma langue glisse et effleure chaque parcelle de ta peau avant de s'attarder sur une zone bien connue qui a le don de faire cambrer. Ton bassin bouge au rythme de ma langue et tes doigts dans mes cheveux parlent pour toi. Mes mains caressent ton corps et dĂ©grafent le dernier tissu cachant ta peau avant de l'envoyer rejoindre le reste de nos vĂȘtements. Je n'ai pour ma part plus que le jean et les boutons de ma chemise gisent un peu partout sur les draps. Tes cuisses enserrent mon visage guidant ma langue sur tes points Ă©rogĂšnes. Mes doigts maltraitent ton corps et mes dents croquent doucement le fruit de ton intimitĂ© avant de revenir Ă  des sommets plus hauts que je n'ai pas le temps de profites du mouvement pour basculer la position et passer sur mon corps. Tes lĂšvres viennent chercher les miennes tandis que tes mains s'occupent d'ĂŽter les derniers vĂȘtements qui me restaient. Nous voilĂ  l'un comme l'autre comme des vers dans ce grand lit que nous avons dĂ©jĂ  si souvent exploitĂ©. Les lĂšvres passent sur mon cou avant de glisser sur mon torse tandis que tes mains se font entreprenantes. Ta langue se joint au jeu et je ferme les yeux. Chacun de tes mouvement est amplifiĂ©, sensations enivrante de te laisser le contrĂŽle quelques instants. Mais pas pour trĂšs longtemps... une mains sur ton visage, l'autre dans ton cou. Je te fais lĂącher prise et remonter tes lĂšvres avant de perdre totalement nouveau l'on bascule, nos positions s'inversent et je plaque tes mains sur le lit tandis que mes lĂšvres se jouent de ton cou. Nos deux corps se cherchent, se frottent l'un contre l'autre. Mes dent croquent ton cou et mes yeux cherchent les tiens. Je t'aime glissĂ© Ă  ton oreille tandis que nos corps ne font plus qu'un. D'un doux mouvement d'abord je prends possession de toi, laissant le temps Ă  nos corps d'exprimer leurs Ă©mois. Puis je relĂšve la tĂȘte, plantant mon regard dans le tiens, et accĂ©lĂšre sobrement le mouvement de mes reins. Elina PetersonGryffondor Re [Habitation] Domaine GrisElina Peterson, le Dim 29 Avr - 1548 contenu explicite sexualitĂ©Alors que mes lĂšvres goĂ»tent Ă  ton corps et que ma langue se joue de ton intimitĂ© pour te faire perdre le contrĂŽle de toi-mĂȘme, je sens ta main sur ma joue et l'autre dans mes cheveux. Je sens ton corps se tendre sous mes caresses et je savoure l'effet que j'ai sur toi. Ce qu'il se passe entre nous... Est nouveau pour moi. Jamais je n'ai eu autant d'effet sur quelqu'un, je ne me suis jamais sentie aussi libĂ©rĂ©e de tout tabou. La peur du jugement n'as pas sa place entre nous et nos Ă©bats n'en sont que plus que tu ne perdes totalement le contrĂŽle, tu m'obliges Ă  remonter et dans ce mouvement chaque centimĂštre de mon corps effleure le tien. Ce contact peau contre peau Ă©lectrise mon Ă©piderme. Lorsque finalement mes lĂšvres se posent sur les tiennes tu reprends le dessus et bloques mes mains au-dessus de ma tĂȘte alors que ta bouche se pose sur mon cou. Mes jambes s'enroulent autour de ton bassin pour que mon corps titille le tien. Tes dents mordent la chair de mon cou. Nos regards ne s'accrochent pas plus de quelques secondes et tu me glisses un Je t'aime au moment oĂč ton corps prend possession du mien avec douceur....Ma tĂȘte repose dans le creux de ton bras, ma jambe passĂ©e sur la tienne, je suis encore haletante, peinant Ă  retrouver mon souffle. Mes doigts tracent des motifs imaginaires sur ton torse. Je sens les tiens faire de mĂȘme sur mon Ă©paule et j'entends les battements irrĂ©guliers de ton coeur. Un sourire Ă©tire mes lĂšvres. Je n'imaginais pas meilleure rĂ©action de ta part. Tu ne m'en veux pas trop? Cette question taraude mon esprit depuis que tu m'as fait ce "reproche" concernant le risque d'un duel alors que je porte notre enfant et je ne sais pas ce que tu penses de mes arguments puisque tu as dĂ©viĂ© sur une toute autre activitĂ©. Adonys MontgomeryG. TechniqueHarryPotter2005 Re [Habitation] Domaine GrisAdonys Montgomery, le Dim 29 Avr - 1644 Nos corps qui ondulent, nos souffles qui dĂ©raillent, mes mains agrippant tes poignets, tes jambes enfermant mon bassin... nos corps Ă  l'unisson qui expriment toute leur joie d'ĂȘtre l'un contre l'autre et plus encore.******EssoufflĂ©s, Ă©reintĂ©s, apaisĂ©s, dĂ©tendus, nous gisons l'un contre l'autre sur ce grand lit dĂ©fait. Ta jambe passe sur les miennes et tes mains jouent sur mon torse. Mon souffle caresse ta peau tandis que mes mains jouent sur ton Ă©paule. Un simple drap blanc cache nos deux corps encore nus quand tu poses les yeux dans les miens pour me demander si je ne t'en voulais pas trop. Heu ... bah si tu commençais par me dire de quoi tu me parle dĂ©jĂ  ? Non parce que lĂ  clairement, en dehors d'une sieste contre ton corps, je n'ai envie de rien et encore moins de t'en vouloir pour quoi que ce soit .Puis bon, je viens d'apprendre que je vais ĂȘtre papa alors pourquoi je t'en voudrais ... je dĂ©pose un baiser sur tes lĂšvres et laisse ma tĂȘte se reposer contre ta poitrine. Elina PetersonGryffondor Re [Habitation] Domaine GrisElina Peterson, le Dim 29 Avr - 1708 Alors que j'attends la rĂ©ponse Ă  ma question qui semble Ă©vidente tu me demandes de quoi je parle... Ok notre cĂąlin Ă  ramollie ton cerveau, tu dĂ©poses un baiser sur mes lĂšvres m'obligeant par la mĂȘme occasion Ă  changer de position. Tu dĂ©poses ta tĂȘte sur ma poitrine alors que ma main vient caresser ton dos. Ma tĂȘte repose Ă  prĂ©sent sur les oreillers moelleux. Je sens ton souffle chatouiller ma peau Ă  intervalle rĂ©gulier, ta respiration s'apaise, je ne t'ai pas vu si dĂ©tendu depuis un moment... Mais on ne peut pas dire que nous arrivions Ă  trouver suffisamment de temps pour ce genre de moment entre ton travail et le mien c'est assez parle du duel que nous avons fait... et du fait que je ne te l'ai pas dit plus tĂŽt...J'ai des milliers de questions concernant le futur, des peurs aussi... avoir un enfant, c'est donner une arme supplĂ©mentaire Ă  nos ennemis de t'atteindre... Comment ferons nous pour protĂ©ger notre bĂ©bĂ© et notre famille des dangers qui nous guettent ? Je refuse que tu arrĂȘtes d'ĂȘtre Auror et on ne peut pas se cacher indĂ©finiment alors il va nous falloir trouver d'autres solutions... Adonys MontgomeryG. TechniqueHarryPotter2005 Re [Habitation] Domaine GrisAdonys Montgomery, le Lun 30 Avr - 1119 Les mouvements de tes doigts dans mes cheveux se font nerveux. Tu sembles apprĂ©hender la rĂ©ponse que je vais t'apporter, il n'y a pourtant pas de raison. Ce n'Ă©tait pas trĂšs prudent en effet, mais tant que tout va bien je ne vois pas de soucis. Puis ton argument est valable, enceinte ou pas il faut que tu saches te dĂ©fendre... Que tu saches te dĂ©fendre oui, que tu ais besoin de le faire, c'est hors de question. Je ne compte pas t'en parler car cela te hĂ©risserait le poil, mais Ă  partir de maintenant je demanderai Ă  HaĂŻko d'assurer une surveillance constante sur toi et de me prĂ©venir au moindre devrait savoir se faire discret, aprĂšs tout c'est un elfe, et je sais qu'il n'hĂ©sitera pas Ă  te protĂ©ger si le besoin se fait imminent. C'est un elfe loyal et profondĂ©ment bon, il remplira ce rĂŽle Ă  la perfection. Peut-ĂȘtre devrais aussi renforcer les protections magiques autour du domaine gris et de la tĂȘte de sanglier, on est jamais trop prudent. Puis bon, quelques sortilĂšges sur tes vĂȘtements pour t'assurer une protection primaire serait de bon augure Ă©galement, enfin je m'emballe... on verra bien au fur et Ă  mesure. Elina PetersonGryffondor Re [Habitation] Domaine GrisElina Peterson, le Lun 30 Avr - 1520 Mes mains jouent dans ton dos et remontent jusqu'Ă  tes cheveux que je patouille. Tu ne lĂšves pas un regard dans ma direction et me rĂ©pond avec douceur quoi que, je te sens te tendre un petit peu. Je commence Ă  te connaitre Lhow... Tu es autant inquiet que moi Ă  l'idĂ©e que nous puissions, le bĂ©bĂ© et moi, devenir une cible pour tes ennemis. D'ailleurs tu reconnais que j'ai eu raison de faire ce duel, mais je suis surprise, tu ne rĂ©ponds pas Ă  ma deuxiĂšme question... Soit tu l'Ă©vites, soit tu attends plus de prĂ©cisions. Je continue donc de caresser tes cheveux alors que je reprends la parole avec douceur. Tu ne rĂ©ponds pas Ă  ma deuxiĂšme question chĂ©ri... Tu ne m'en veux pas de ne pas te l'avoir dit plus tĂŽt ? Je vois venir ta question du "tu le sais depuis combien de temps" alors j'anticipe et reprends. Pour ĂȘtre totalement honnĂȘte avec toi... Je le sais depuis presque un mois... Quand la mauvaise pĂ©riode ne s'est pas prĂ©sentĂ© et qu'elle tardait de plus en plus... Finalement, au bout de deux semaines de retard je me suis alarmĂ©... J'ai fait un test de grossesse et comme il s'est avĂ©rĂ© positif j'ai pris rendez-vous chez le mĂ©decin. Tu es tellement occupĂ© avec le travail qu'il a Ă©tĂ© facile pour moi de ne rien te dire. Et puis huit semaines c'est la date noire pour moi... Alors, je voulais attendre qu'elle soit passĂ© pour te le dire... Et comme aujourd'hui c'est le premier jour oĂč l'on arrive Ă  se retrouver vraiment...Je termine mon explication et je me rends compte que finalement c'Ă©tait moi qui avais du mal Ă  accepter cette grossesse. Je m'Ă©tais bien trop attachĂ© la premiĂšre alors je crois que j'ai, jusqu'Ă  maintenant, fait comme si ce bĂ©bĂ© n'Ă©tait pas lĂ ... Je crois mĂȘme que je l'ai un peu oubliĂ© durant ses premiĂšres semaines. Ne pas te le dire s'Ă©tait, avoir la possibilitĂ© de faire comme s'il n'Ă©tait pas lĂ . Du moins jusqu'Ă  la fameuse date... Une fois celle-ci passĂ© par contre mon cerveau a semblĂ© accepter l'idĂ©e et j'ai commencĂ© Ă  faire beaucoup plus attention... Il faut dire que les nausĂ©es matinales et les changements hormonaux ne m'ont pas vraiment aidĂ© Ă  faire abstraction... Mais maintenant que le passĂ© n'influe plus sur le prĂ©sent je suis prĂȘte Ă  profiter de cette grossesse Ă  cent pour cent. MĂȘme si je sais qu'il va falloir que je te freine concernant ma sĂ©curitĂ©... Ne comptez pas me mettre en cage Mr Lhow sinon je serais capable de devenir un vrai dragon. Adonys MontgomeryG. TechniqueHarryPotter2005 Re [Habitation] Domaine GrisAdonys Montgomery, le Dim 6 Mai - 1244 Sa deuxiĂšme question ? Il aurait fallu qu'elle soit un peu plus clair alors, parce que je ne vois pas bien de quoi tu me parle. Puis vient ton long monologue ou tu expliques les choses, tu donnes tes ressentis, tes Ă©motions, tu dĂ©veloppes le fil de ta pensĂ©e alors je t’écoute sans un mot. Mes doigts jouent tranquillement sur ton corps, glissant ça et lĂ . Non, je ne t'en veux pas. Tu avais tes raisons et le plus important c'est que vous alliiez bien tous les deux. Et croyez moi je compte bien m'assurer que cela reste ne compte pas lui dire ou lui montrer un quelconque signe de changement, elle s'en offusquerait et cela se terminerai en un dĂ©bat sans fin. Non, je vais agir dans l'ombre et cela sera trĂšs bien comme ça ! Je me demande mĂȘme si je ne devrais pas demander un second elfe de maison histoire d'ĂȘtre qu'elle ne puisse se douter de rien... c'est Ă  rĂ©flĂ©chir tiens. Je me relĂšve doucement et dĂ©pose un baiser sur ses lĂšvres avant de poser la tĂȘte sur mon coussin et de ramener la sienne sur mon enlacer dans les bras l'un de l'autre, je lui glisse un Je t'aime avant de sombrer dans un soupir. Je vais ĂȘtre papa...Fin du RP, merci Shela DiggleSerpentard Re [Habitation] Domaine GrisShela Diggle, le Ven 27 Juil - 1718 L'inconfortable position de Monsieur Lhowwith Arty, Matt et ArtemisLa perspective dĂźner, si elle n'enchante toujours pas autant que cela Ă©veille d'attrait chez bien des autrui, paraĂźt plus sympathique sous l'angle de cette soirĂ©e en particulier. AprĂšs tout, il y aura au moins deux spĂ©cimens affectionnĂ©s dans le lot, et la note sĂ©curisante d'avoir Ă©tĂ© chargĂ©e des bouteilles. Dans un sachet en papier façon mineur qui ne souhaite laisser deviner de quel genre est sa marchandise, quatre huit ans d'Ăąge s'emmĂȘlant dans le petit espace. Étrange façon de convier du monde que de le faire par l'intermĂ©diaire d'un autre, mais soit, l'acte se vaut tout autant. Avoir haussĂ© les Ă©paules devant la lettre et puis et puis il y a eu un intĂ©rĂȘt vers ailleurs, l'incident fut clos, si toutefois c'en fut un. L'on ne savait pas que le chef avait un s'est glissĂ©e dans l'immobilitĂ© tranquille du soir estival, vĂȘtue du premier vĂȘtement que l'on s'est achetĂ© soi-mĂȘme depuis trois annĂ©es. En effet, les robes et autres vĂȘtements habillĂ©s de mon hĂŽte ne permette pas de sortir sans se faire remarquer; d'excentriques lins et flanelles elle ne manque pas, mais rien qui puisse Ă  la fois m'aller et me garder dans ce lieu apaisant qu'est la neutralitĂ©. Ne pas ressembler Ă  quoi que ce soit qui puisse sortir du lot ĂȘtre, le fantĂŽme que sont tous les gens d'aujourd'hui par rapport Ă  un avant. DĂ©sormais il n'y a plus que les gens d'un nouveau prĂ©sent, presque, et quelques pĂąles copies de ce que l'on pouvait nommer les familiĂšres choses. Tailleur gris foncĂ©, sans la couleur exacte parce que n'avoir les yeux pour cela pour soi il y a les teintes principales et les ombres dessus. Il est environ dix-neuf heures moins le quart, ou le tiers, et l'on fait d'une attente dĂ©guisĂ©e un flot de lignes dans la tĂȘte ĂȘtre, dans la bonne rue, ne reste qu'Ă  suivre les numĂ©ros. Et contre le crĂąne il y a encore parfois ce monstre Ă  pinces qui se meut qui se meut et qui n'en fini pas de, manger le noir qu'il y trouve - ne pas penser qu'il s'agit de noir, il n'y a en rĂ©alitĂ© que des neutralitĂ©s, pas vrai, des choses que l'on pense un peu, parfois plus. Le monstre ne les prend que parce que d'autres les qualifieraient de noires idĂ©es, mais ce n'en sont pas. Il a tord, cette fois. VoilĂ  la porte qui se dresse et sur la montre, des aiguilles qui n'ont tout Ă  fait atteint le point de rendez-vous. Arty et Austin ne doivent donc pas encore ĂȘtre entrĂ©s, dĂ©cider des les attendre sur le perron, entrer tous ensemble. Conviviale assemblĂ©e, ce genre de trucs. Dos Ă  la porte, compter ses doigts des fois qu'ils auraient disparus Artemis WildsmithPoufsouffle Re [Habitation] Domaine GrisArtemis Wildsmith, le Ven 27 Juil - 2254 La perspective des festivitĂ©s faisait chantonner gaiement le gamin qui se prĂ©parait. Pas une seule once d’inquiĂ©tude dans son cƓur frĂ©tillant, c’est qu’il aurait pu se demander comment allait rĂ©agir le chef en les voyant dĂ©barquer, mais il ne doutait absolument pas que le sourire serait de mise. On est toujours heureux de recevoir chez soi, n’est-ce pas ? Quant Ă  cette histoire d’avoir Ă©tĂ© prĂ©venu avant, ma foi, un simple dĂ©tail qu’il s’agit de chasser rapidement. Il chargea le sac qu’il prendrait sous son bras, rempli de merveilles dont le seul but Ă©tait d’illuminer cette soirĂ©e, il fourre ainsi la derniĂšre boĂźte de cotillons qu’il trouve, demandant aux confettis, chapeaux et bracelets fluos de faire de la place. Avait-il vu trop grand pour ce dĂźner ? Non, il fallait se mettre dans l’ambiance, et les accessoires de fĂȘte Ă©tait un vecteur non nĂ©gligeable. Il avait hĂąte de voir le chef Lhow avec un petit chapeau pointu dorĂ© sur la tĂȘte, prĂȘt to party. Il jette un Ɠil au sourire qu’il venait d’accrocher Ă  ses lĂšvres impatientes, lumineux comme il faut, tout Ă  fait en accord avec la couleur de son costume. Et bien Ă©videmment, avant de quitter la cabane, c’est dans un geste royalement ample qu’il s’empare du chapeau, accrochĂ© au porte-manteaux, qui coifferait sa tĂȘte pour la soirĂ©e. Lui n’aurait pas de carton pailletĂ© sur sa chevelure bouclĂ©e, non, elle Ă©tait l’heureuse hĂŽte d’un chapeau de bouffon vert, parfait pour l’occasion. Un secouage de grelots plus tard, et c’est dans un CRAC mĂ©lodieux Ă  la maniĂšre de trois petites clochettes qu’il disparaĂźt. FrĂŽlant musicalement le trottoir en face de la demeure de l’Auror, les jambes flemmardes du Louveteau culpabilisent. C’est qu’Arty vivait Ă  proximitĂ© de son chef, et qu’il avait choisi le transplanage, mauvais pour sa santĂ©. D’un autre cĂŽtĂ©, il se dit qu’une fois par mois, ses pattes poilues galopaient dans la forĂȘt, s’exerçant pour toutes les autres fois oĂč il prĂ©fĂ©rait la magie comme moyen de dĂ©placement. Il cligne des yeux avant de s’apercevoir que Shela se tenait devant la porte, il ne l’avait pas remarquĂ©e tout de suite, c’est que son tailleur se confondait avec celle du trottoir. Quelle idĂ©e aussi. Joyeusement, il traverse la rue, grelots enjaillĂ©s de voir que sa collĂšgue avait acceptĂ© l’invitation. C’est vrai qu’il avait eu des doutes, la rĂ©serve de la jeune fille, mais aussi le sĂ©rieux d’Austin, il avait doutĂ© que sa farce fonctionnerait correctement. Mais visiblement, il savait convaincre innocemment par Ă©crit. Il savait qu’il n’aurait pas pu lancer une telle idĂ©e en face de ses collĂšgues, son sourire malicieusement fripon l’aurait immĂ©diatement vendu. Non, vraiment, l’idĂ©e de la lettre avait Ă©tĂ© magistrale. Puis c’était pour une bonne cause, s’amuser certes, faire davantage connaissance, devenir copains. C’est important pour l’esprit d’équipe, et ça, Lhow ne pourrait pas le contredire quand il serait aveuglĂ© par la rage de voir la bĂȘtise qu’Arty venait d’accomplir. Bonsoooooir chĂšre CollĂšgue-copine ! T’oses pas entrer toute seule ? J’comprends. On attend Matt ? Il avait un plan derriĂšre l’oreille. Ne surtout pas rĂ©vĂ©ler la bouffonnade avant qu’Artemis ait ouvert la porte, sinon, Ă  coups sĂ»rs les collĂšgues allaient prendre leurs jambes Ă  leur cou. Peut-ĂȘtre, en tout cas. Anyway, c’était un risque qu’il ne voulait pas prendre. Un regard vers le sac. Oh parfait ! T’as ramenĂ© les boissons ! Tu gĂšres ! En plus elle avait suivi les consignes Ă  la lettre, il savait bien qu’il pouvait lui faire confiance, Ă  la Diggle. Elle lui inspirait que des ondes positives au gamin, si on mettait de cĂŽtĂ© qu’elle avait voulu lui arracher les yeux de leurs orbites. Un coup d’Ɠil vers la porte juste devant eux, puis vers la rue. Bon, j’espĂšre qu’il va pas tarder lĂ . Sans dire pourquoi. C’est qu’ils ne pouvaient pas se permettre d’attirer l’attention de Lhow en faisant trop de bruit. Il grimace en pensant ça, parce qu’évidemment, c’était ce soir qu’il avait choisi pour inaugurer son bonnet bouffonnesque bruyamment ornĂ© de grelots. Gabin Ć prajcSerdaigle Re [Habitation] Domaine GrisGabin Ć prajc, le Sam 28 Juil - 059 Qu’elle Ă©trange lettre avait-il reçu quelques jours plus tĂŽt. Une lettre Ă©crite par l’un de ses collĂšgues, l’invitant Ă  une soirĂ©e chez un autre. Etrange procĂ©dĂ©. Enfin, Matt ne connaissait pas encore assez bien ses collĂšgues pour les juger. AprĂšs tout, peut ĂȘtre que c’étaient leur façon de faire. Ainsi, habillĂ© de ses plus beaux vĂȘtements, Ă  savoir, une chemise blanche, cravate bleutĂ©e et un pantalon noir, le sorcier dĂ©ambulait dans les rues du fameux village de sorcier PrĂ©-au-Lard. Pour dire vrai, Matt n’avait pas vraiment d’habits pour sortir. Non. Sa garde-robe commençait sĂ©rieusement Ă  dater. Mais il s’en fichait. C’était mĂȘme loin d’ĂȘtre le premier de ses soucis. De toute maniĂšre, il n’avait personne Ă  impressionner ou Ă  plaire. L’Auror regarda les cartons qu’il tenait en Ă©quilibre dans la paume de sa main, empilĂ© l’un sur l’autre. C’était lui qui avait eu la corvĂ©e, la tache pĂ©nible, de ramener le dessert. Un vrai casse-tĂȘte. Le sorcier ne connaissait absolument pas les gouts et les envies de ses collĂšges. Faire un choix s’était donc rĂ©vĂ©lĂ© des plus compliquĂ©. Puis il avait finalement optĂ© pour une imposante tarte au mĂ©lange savoureux des fruits de saisons ainsi qu’un Ă©norme framboisier. Des classiques en pĂątisserie. Aussi savoureux qu’esthĂ©tique. Des petites sucreries qui lui avait coutĂ© un bras. Le brun Ă©tait-il radin ? Pas vraiment. C’était surtout que son compte en banque Ă©tait vide aprĂšs trois annĂ©es sans revenu. Enfin, l’Auror se trouvait maintenant dans la rue principale du village de sorcier. Seul lui et les lumiĂšres de quelques chaumiĂšres semblaient Ă©veillĂ©s. Ce village Ă©tait plutĂŽt triste une fois la nuit tombĂ©e. Ce n’était pas le meilleur moment pour se retrouver ici. Non. L’aprĂšs-midi, les rues devenaient bien plus bruyantes et animĂ©s. Des souvenirs de sa scolaritĂ© remontĂšrent dans son esprit. Le brun ne pouvait dire combien de fois il avait marchĂ© dans cette rue principale, s’arrĂȘtant dans tous les magasins qui la bordaient pour faire des achats bien souvent inutiles. Son regard s’arrĂȘta sur l’un des bars de sorciers les plus rĂ©putĂ©s. L’un des Ă©tablissements pour lequel le sorcier avait travaillĂ© dans le passĂ©. Une bonne biĂšre au beurre ne serait pas de refus, mais il n’avait malheureusement pas le temps pour ça. Il Ă©tait dĂ©jĂ  suffisamment en retard pour son repas. A grandes enjambĂ©es, le franco-amĂ©ricain se dirigea droit vers l’endroit, l’habitation oĂč avait lieu ce petit repas entre collĂšgue. S’il avait bien compris, c’était le Chef du bureau des Aurors, Monsieur Lhow qui offrait gracieusement son manoir pour l’occasion. Et pas chance, il avait pris la peine d’indiquer sa position. Sinon, le franco-amĂ©ricain aurait surement dĂ©ambulĂ© durant quelques heures avant de trouver son lieu de vie. Un domaine qui semblait immense, plus le brin s’avançait vers l’entrĂ©e de ce dernier. Y’avait-il des protections magiques que le sorcier ne pourrait passer ? Le brun dĂ©cida d’en avoir le cƓur net et ne s’arrĂȘta pas en dĂ©passant l’entrĂ©e de la propriĂ©tĂ©. Par chance, rien ne se produisit, lui permettant de poursuivre sa route. TrĂšs vite, les yeux de l’Auror repĂšrent la petite silhouette de sa collĂšgue, Miss Diggle, un sac dans les main. Et se tenant Ă  ses cĂŽtĂ©s, son habituel aura enfantin se dĂ©gageant de tout son corps, le canarie Wildsmith Ă©tait aussi prĂ©sent. Belle tenue, trĂšs voyante, ne put s’empĂȘcher de penser Matt en voyant l’accoutrement excentrique de son collĂšgue. Quand il fut suffisamment proche d’eux, le franco-amĂ©ricain les gratifia tous deux d’un hochement de tĂȘte en guise de salutation. Hochement qu’il accompagna d’une politesse verbale. Ravie de vous voir chers collĂšgues. »Si cela ne tenait qu’à lui, le brun n’aurait saluĂ© que sa collĂšgue. Pour certaines raisons, le feeling entre Arty et lui ne passait absolument pas. Cette joie de vivre, cette façon de faire de la plaisanterie son quotidien, l’exaspĂ©rait au plus haut point. Au moins, Miss Diggle avait ce cĂŽtĂ© sĂ©rieux, ce cĂŽtĂ© rĂ©servĂ©, que le franco-amĂ©ricain apprĂ©ciait au travail. Un rĂ©el Auror, ne se sentant nul besoin d’amuser la galerie pour faire son devoir. Matt n’eu pas le temps de rouspĂ©ter intĂ©rieurement plus longtemps contre le canarie, car la seule femme de leur groupe s’approcha alors de l’imposante porte du Manoir appartenant Ă  Mister Lhow. Rapidement, Matt utilisa ses deux mains pour soutenir les deux Ă©pais cartons dans lesquels se trouvaient les desserts de la soirĂ©e. Il voulait Ă©viter de les faire tomber et de passer pour un incapable. Puis, doucement mais en mettant suffisamment de force dans son geste, Miss Diggle frappa trois coups Ă  la porte du Manoir pour prĂ©venir leur hĂŽte de leur arrivĂ©e. LevĂ© de rideau. Adonys MontgomeryG. TechniqueHarryPotter2005 Re [Habitation] Domaine GrisAdonys Montgomery, le Sam 28 Juil - 1753 InvitĂ©s surpriseavec Arty, Matt, Shela, Elina et EnzoTu glisses ta main sur sa hanche et pose tes lĂšvres dans son cou ... tu adores ça et sais pertinemment le frisson que ça lui procure. Elina est installĂ©e dans le canapĂ©, Enzo Ă  ses cĂŽtĂ©s, tous les deux absorbĂ©s par les contes de Beedle le Barde un classique. HaĂŻko prĂ©pare le repas de la soirĂ©e et MoĂŻka joue avec Hyrule Ă  travers le salon. Rien ne saurait entacher ta soirĂ©e, pour une fois que tu parviens Ă  te libĂ©rer de tes obligations avant que le repas ne soit pris, tu comptes bien profiter d'une soirĂ©e en famille. Enfin, rien ne saurait, rien ne saurait ... tout est relatif. Ta baguette Ă©mets une premiĂšre vibration dans la poche intĂ©rieure de ta veste. Tu glisses ta main jusqu'Ă  elle et t'en empare tandis qu'une pointe d'adrĂ©naline fait battre ton cƓur plus vite. Face Ă  la porte Elina. le silence ce fait dans la demeure et tu es seul face Ă  la porte, baguette Ă  la main tandis que ta femme emmĂšne Enzo Ă  l'Ă©tage, baguette Ă  la main, elle aussi. Cette Ă©ventualitĂ© a Ă©tĂ© Ă©mise Ă  de nombreuses reprises, mais tu ne pensais pas qu'ils auraient l'audace de venir ainsi un jour, en dĂ©but de soirĂ©e. Pas chance, pour une fois, tu es lĂ . Une troisiĂšme vibration secoue ta baguette ... combien sont-ils encore ?!Tandis que l'idĂ©e d'activer le module d'urgence t’effleure l'esprit, il se passe une chose Ă  laquelle tu ne t'attendais pas. Toc toc toc Un sourcil se hausse mĂ©caniquement tandis que l'hĂ©sitation te saisit. Un piĂšge ? Tu fais un pas, puis deux vers la fenĂȘtre donnant sur le perron te montre un petit groupe attendant sagement Ă  la porte. Ils ne semblent pas armĂ©s de mauvaises intention, mais si c'est encore pour te vendre des fenĂȘtres ... l'adrĂ©naline redescend d'un cran tandis que tu ouvres la porte, Ă  moitiĂ© sereinement. Que ... Tu restes lĂ©gĂšrement bouche bĂ©e devant le petit groupe se prĂ©sentant Ă  tes yeux. Il s'est sans doute passĂ© quelque chose de grave pour que l'ensemble de ton Ă©quipe fasse le dĂ©placement jusqu'Ă  ton domicile. Du moins c'est la premiĂšre idĂ©e que te traverse l'esprit, puis tu remarques les tenues ... les sac ... le chapeau Ă  grelots ... c'est quoi ce cirque ?! Il s'est passĂ© quelque chose ? Une attaque ? Tu te tourne vers le gamin en jaune fluo qui grelote au sens premier du termes Ă  chaque mouvement qu'il fait. Tu envois un patronus sans message Ă  ta conjointe pour lui annoncer que tout va bien. Enfin, tu espĂšres, mais ça ne te dit pas vraiment ce qui te vaut l'honneur d'ĂȘtre rĂ©cupĂ©rĂ© Ă  domicile... Shela DiggleSerpentard Re [Habitation] Domaine GrisShela Diggle, le Sam 28 Juil - 2236 - HĂ©, salut en rĂ©ponse Ă  l'Arty canari qui vient de se dĂ©poser sur le trottoir. Un contentement qui naĂźt sur les lĂšvres, ĂȘtre rassurĂ©e que ce soit lui et non le nouveau collĂšgue qui soit arrivĂ© d'abord. Les situations sociales n'Ă©tant pas un point sur lequel l'on compte moult qualitĂ©s, mieux vaut avoir comme compagnie en seul Ă  seule un monsieur que l'on sait un peu assembler. Oui, les joues d'enfant et le sourire tout terrain, les mains rafales rafales tant elles dansent vite, un air goguenard dans les cheveux, une antipathie certaine envers l'inertie et une relation affectueuse entre lui et le chef, voilĂ  le tableau que l'on sait dresser pour le petit monsieur. Et c'est ainsi bien moins dĂ©licat d'engager paroles avec ce genre d'interlocuteur quelqu'un que l'on n'a plus Ă  cerner pour se permettre d'ĂȘtre bien soi. Esquisser un mouvement afin de faire teinter le verre dans le sachet, affirmative je prĂ©fĂ©rais vous attendre, ainsi il s'occupera de faire ma conversation. Parler parler quelle drĂŽle d'idĂ©e mieux valent les gestes, les assurances, les mains elles ne savent mentir - pas mĂȘme Ă  soi - alors prĂ©fĂ©rer la spontanĂ©itĂ© des mouvements au labeur de chercher ses mots ses lettres, s'empĂȘtrer dans quelque chose qui souvent, finit par dĂ©plaire. La conversation, voilĂ  un autre point au tableau d'Arty canari. Une langue tout Ă  fait dĂ©liĂ©e qui ne se farde pas d'un mauvais genre; lui sait tenir tĂȘte aux bavardages. Et il sera le bouclier parfait au trop-plein de paroles. Lui s'impatiente tandis que l'on guette la nuit, et soi et soi a-t-on hĂąte ? il faudra tĂącher de faire d'un dĂźner parlĂ© quelque chose d'agrĂ©able. Manger est une autre façon de mĂącher cracher des mots, il semble, mais ! il y aura lĂ  une compagnie agrĂ©able. Pas un trop monde. D'accord. Ce sera une belle soirĂ©e. BientĂŽt une grande silhouette s'approche, et l'on devine la figure peu familiĂšre de l'homme que l'on a rencontrĂ© pour la premiĂšre fois sous un masque. Il porte une cravate bleue, et puisqu'elle plaĂźt bien, dĂ©crĂ©ter qu'il s'agit de bon goĂ»t de sa part. Les grelots tirent une nouvelle fois un sourire, et c'est plus Ă  leur Ă©gard qu'au nouveau venu que l'on Ă©tire les lĂšvres. Bonsoir cordial parce qu'il s'agit d'un Ă©tranger il a, les lignes invisibles et l'on ne saurait trop quoi lancer d'autre - apprĂ©cier tout de mĂȘme le fait qu'il ne se lance pas dans une ronde de bises sur les joues; si l'on est d'un tactile impĂ©tueux, pas envers quiconque a un nom vierge d'idĂ©es. L'on s'avance alors vers cette situation que l'on pense tout Ă  fait logique et orchestrĂ©e, sans encore avoir sous les yeux l'envers - admirablement tirĂ© par les ficelles d'Arty - du dĂ©cor. Si l'on s'apprĂȘte Ă  tomber des nues, ce ne sera probablement rien face Ă  la rĂ©action de Lhow. Cependant il s'agit de pĂ©rĂ©grinations omnisciente auxquelles l'on n'a accĂšs ici il n'y a que le mouvement naturel vers la porte de l'hĂŽte qui a conviĂ© ses collĂšgues, et les quelques coups que l'on y frappe afin de pouvoir entrer et commencer ce que le chef a prĂ©vu pour nous. C'est pourquoi l'Ă©tonnement feint sur le visage d'un Artemis soudainement arrivĂ© fait naĂźtre un rire. TrĂšs drĂŽle. On est Ă  l'heure Ă  votre et se souvenir qu'il souhaitait un tutoiement ton invitation. Mais pas mal, le jeu d'acteur il devait nous faire une petite farce, comme si l'on s'Ă©tait trompĂ©s de jour. De quoi mettre une ambiance dĂ©contractĂ©e et c'est plutĂŽt rĂ©ussi, car l'on est dĂ©sormais plus dĂ©tendue que dans l'attente de tout Ă  l'heure. On peut visiter ? Artemis WildsmithPoufsouffle Re [Habitation] Domaine GrisArtemis Wildsmith, le Lun 30 Juil - 1113 Et elle avait bien fait de l’attendre, que se serait-il passĂ© si Lhow avait ouvert immĂ©diatement ? RĂ©vĂ©lant malgrĂ© lui que tout cela Ă©tait qu’une farce d’Arty. Non, vraiment, Shela impressionnait le gamin, elle faisait une merveilleuse complice. Il aurait peut-ĂȘtre dĂ» d’ailleurs, en passant, la complimenter sur sa tenue, sa tĂȘte de la soirĂ©e, ou il ne savait pas quoi d’autre, c’est ce que font les jeunes gens normaux qui ne s’intĂ©ressaient pas qu’à eux. Mais en rĂ©alitĂ©, il Ă©tait beaucoup trop entiĂšrement focalisĂ© sur les minutes qui allaient se dĂ©rouler, avant de pincer les lĂšvres. Il avait oubliĂ© l’appareil photo. Fichtre, qu’il murmure alors qu’Austin dĂ©barque, ce qui n’était pas du tout voulu et la coĂŻncidence est bien hasardeuse. Il salue poliment de la tĂȘte son collĂšgue sĂ©rieusement ennuyeux. Le gamin aurait adorĂ© immortaliser la tĂȘte d’Artemis les voyant tous les trois sur le pas de sa porte, invitĂ©s surprise pour un dĂźner entre collĂšgues. Comme quoi, il n’était qu’un pauvre organisateur. La prochaine farce, il faudrait ce maudit appareil photo, c’est promis. Toujours est-il qu’il est content que Matt ait fait le dĂ©placement. Il savait bien que quelque chose clochait entre lui et l’adulte, sans savoir exactement pourquoi, lui qui Ă©tait toujours extrĂȘmement gentil, il sentait chez l’autre comme une rĂ©ticence Ă  l’apprĂ©cier. Anyway. Il Ă©tait venu, avait fait confiance en sa lettre, et vu ce qu’il portait, n’avait pas oubliĂ© le dessert. Good point. Le Louveteau se retourne alors vers la porte d’entrĂ©e pour voir sa collĂšgue y frapper trois coups. Une grande inspiration prise, il s’était demandĂ© dĂ©jĂ  plusieurs fois comment il rĂ©agirait pour faire passer la bĂȘtise. Feindre l’étonnement, faire semblant que le chef avait oubliĂ© sa propre invitation ; faire porter le chapeau Ă  quelqu’un d’autre ; faire passer ça comme une surprise dĂ©licate qui lui ferait forcĂ©ment plaisir – initiative de tous les trois. Il avait le choix. Il se frotte les mains, calant le sac sous son bras tandis que son cƓur commence Ă  battre rapidement. Il a hĂąte. Aaaaah ! Ce qu’il aurait Ă©tĂ© fabuleux d’avoir l’appareil photo ! La tĂȘte du chef Ă©tait mĂ©morablement Ă©pique, ses yeux tout surpris de les voir tous les trois, et parce qu’il ne pouvait pas penser Ă  autre chose qu’au travail, le fait qu’il pense immĂ©diatement Ă  une attaque. Arty explose de rire. Tu penses vraiment qu’on serait habillĂ©s comme ça s’il y avait une attaque ? En se dĂ©signant ainsi que ses collĂšgues. Non mais vraiment, c’était pas une flĂšche ce Lhow. Shela aussi rigole, Ă©videmment, elle est persuadĂ©e que c’est Artemis qui se fiche d’eux. Ah ! une situation dont il se dĂ©lecte le jeune Auror ! La main devant la bouche empĂȘche les autres chuckles de s’échapper, non sans difficultĂ©. Le naturel de la jeune femme le surprend agrĂ©ablement, il se fĂ©licite de ne rien avoir dit, d’avoir garder le secret pour lui, encore quelques instants. Et voici qu’elle demandait Ă  visiter, comme une invitĂ©e normale. C’était Ă  se ruer par terre, le gamin en avait les larmes aux yeux et voici qu’il se tenait les cĂŽtes secouĂ©es d’amusement. Finalement, il s’éclaircit la gorge, tente de regagner le peu de sĂ©rieux qui le composait. Il devrait d’ailleurs penser Ă  en piquer Ă  son collĂšgue boring juste Ă  cĂŽtĂ©. Il penserait Ă  prendre une seringue la prochaine fois. Bah oui Artemis ! Tu nous as invitĂ© ce soir pour manger chez toi ! Il sourit, tout guilleret, secoue ses grelots enthousiastes, jusqu’à ce que sa bouche articule le choix qu’il avait fait c’est Matt qui nous l’a dit. Tu lui as fait passer le message tout ça ! Avant de regarder par dessus l’épaule de son chef. C’est vrai que ça a l’air chouette chez toi ! On peut ? Ses yeux malicieux s’étaient fait pĂ©tillants, ne craignant absolument pas les reprĂ©sailles, aprĂšs tout, il faisait ce qu’il voulait. Puis ce n’était pas comme s’il avait organisĂ© un Ă©vĂ©nement criminel tel un brigand. Non, une petite soirĂ©e. Ça ne pouvait que faire plaisir et sourire. Gabin Ć prajcSerdaigle Re [Habitation] Domaine GrisGabin Ć prajc, le Lun 30 Juil - 1345 Le canarie n’avait pas pu s’en empĂȘcher. Il n’avait pas pu s’empĂȘcher de rouspĂ©ter. De grommeler. Quand le sorcier nouvellement Auror Ă©tait arrivĂ©. Et ce mot. Fichtre ». S’était portĂ© jusqu’aux oreilles du sorcier franco-amĂ©ricain. Et le dĂ©plaisir de revoir le stagiaire ne fit que s’accroitre en Matt. Il ne pouvait pas se le voir. C’était comme ça. C’était ainsi. Point. Tous les deux Ă©taient trop diffĂ©rents. Lui. Amuseur de la galerie. Bouffon de ce monde. L’autre sĂ©rieux. Respectueux. Serviable. Rigide. L’homme parfait face Ă  un gamin immature. Mais la seule femme du groupe ne laissa point le temps Ă  un conflit de dĂ©marrer. L’avait-elle sentie ? Le brun ne pouvait le savoir. Mais Miss Diggle venait de s’approcher de la porte, pour assener trois coups sur le battant. Trois coups. Simple. Efficace. Puis quelques secondes s’écoulĂšrent. Quelques secondes qui permirent Ă  l’Auror de vĂ©rifier une derniĂšre fois si le nƓud de sa cravate Ă©tait correct. Assez serrĂ©. Un dernier ajustement. Puis la perfection. Et la tĂȘte du chef du bureau des Aurors apparu, son corps Ă©lancĂ© apparu dans l’encadrement de l’entrĂ©e de son domicile. Une certaine surprise pouvait se lire sur son visage. Ainsi que de l’inquiĂ©tude. Inhabituelle maniĂšre de recevoir ses convives. Un visage heureux aurait surement eu une meilleure place sur le visage de Mister Lhow. Ce fĂ»t le soudaine rire de Diggle qui brisa ce silence quelque peu gĂȘnant. Une blague. Leur Chef leur faisait une farce. Amusant. Hilarant oui. Un humour qui dĂ©passait surement le sorcier brun. Car lui, mĂȘme pas le moindre sourire se dessina sur ses lĂšvres. Qu’importe. Leur chef allait maintenant surement les faire rentrer. Pour commencer ce repas. Faire attendre ses convives n’étaient pas trĂšs respectueux Mister Lhow. Mais Matt ne se faisait aucun doute que leur rĂ©ceptacle, si parfait Chef qu’il admirait pour tenir malgrĂ© les effectifs rĂ©duits, allait les inviter Ă  se rĂ©chauffer Ă  l’intĂ©rieur de son habitation. Mais le sorcier franco-amĂ©ricain avait oubliĂ© un lĂ©ger dĂ©tail. Un dĂ©tail assez consĂ©quent tout de mĂȘme. Car le bouffon jaune Ă©tait lĂ . PrĂ©sent lui aussi. Alors l’Auror aurait dĂ» se douter de la mascaraque. Et quand le stagiaire Auror annonça haut et fort que c’était lui, Matt, qui avait envoyĂ© des lettres pour organiser tout cela, la tempĂȘte se rĂ©veilla en Matt. Plus forte. Plus puissante qu’à l’habitude. Avant, il aurait rĂ©ussi Ă  se contenir. Mais certains Ă©vĂšnements, certaines fissures rĂ©ouvertes et une image omniprĂ©sente dans son esprit, le poussĂšrent. La violence. Il la sentait en lui. Un autre de ses collĂšgues lui aurait fait ces petites accusations, le sorcier aurait rĂ©ussit Ă  garder son contrĂŽle. Mais pas Arty. Pas lui. Pas lui avec son stupide nom. Pas ce que tout cela lui faisait remonter dans l’esprit. Pas ces Ă©tranges sensations qui ne cessaient de se dĂ©battre depuis plusieurs jours dĂ©jĂ  dans les trĂ©fonds de son Ăąme. Ayezau moins la dĂ©licatesse et le respect d’assumer vos moqueries Wildsmith. Vous avez signĂ© les lettres, lettres que vous, vous Wildsmith, avez envoyĂ©s via un hibou en piteux Ă©tat. » Le ton Ă©tait sec, glacial. Ainsi ce n’était encore qu’une farce la part du bĂ©bĂ© Auror. Une farce. Stupide. Il ne cessait de causer des dĂ©sagrĂ©ments. Et le nouveau Auror avait n’arrivait pas Ă  ne pas s’énerver. Etait-ce rĂ©ellement la seule raison ? Le brun s’en fichait. Sa rage Ă©tait tournĂ©e vers Arty. Mais ce rappelant qu’ils n’étaient pas seul, heureusement, le sorcier inspira avant de reprendre de la consistance. Il essaye de donner un sourire amical au Chef du bureau des Aurors. Sourire sincĂšre mais pas si bien rĂ©ussi. Tout bonnement car ce genre de chose n’était plus habituelle pour lui. Mais aucun mot ne voulait sortir de sa gorge. Pour s’excuser auprĂšs du robuste homme de la prĂ©sence de ses collĂšgues et lui Ă  sa porte. Une prĂ©sence surprise. Adonys MontgomeryG. TechniqueHarryPotter2005 Re [Habitation] Domaine GrisAdonys Montgomery, le Mer 1 AoĂ» - 018 Shela Ă©clate de rire et te fĂ©licite pour ton humour. C'est gentil, mais quel humour ? Et puis aussi, quelle invitation ? C'est le plus visible des trois qui t'apporte la rĂ©ponse en Ă©voquant les courriers envoyĂ©s par Matt Ă  l'ensemble du groupe. Ton regard interrogateur se pose sur le visage de ce dernier tandis que son expression en dit long sur l'envie naissante de meurtre qui le saisie. Tu rĂ©primes un sourire en biais et observe ce dernier dĂ©voiler le pot aux roses. Évidemment, comment aurait-il pu en ĂȘtre autrement ? Tu est presque curieux de voir comment Shela va rĂ©agir quand elle va se rendre compte que non, tu n'as invitĂ© personne ce soir. Eh bien, puisque je vous ais invitĂ©, Ă©videmment vous pouvez entrer oui... Tu ouvres la porte Ă  tes convives imprĂ©vus et cherche du regard la prĂ©sence de ta femme et de ton enfant, toujours Ă  l'Ă©tage pour le moment. Tu laisses entrer ton Ă©quipe et en profite pour glisser Ă  l'oreille du gamin J'espĂšre que tu as prĂ©vu Ă  boire et Ă  manger ... parce que clairement tu n'avais pas prĂ©vu de recevoir. HaĂŻko saura parfaitement s'adapter et cuisiner pour tous, ça ne fait aucun doute. Par contre les animaux risquent de se sentir un peu Ă  l'Ă©troit hiboux, deux chats et un phĂ©nix regardent le petit groupe s'avancer dans la cuisine tandis que des bruits de pas se font enfin entendre dans les escaliers ... Elina PetersonGryffondor Re [Habitation] Domaine GrisElina Peterson, le Jeu 2 AoĂ» - 2244 de EnzoUne soirĂ©e en famille, rien de tel pour combler mon coeur de bonheur. Il n’est mĂȘme pas encore l’heure du repas et Artemis est dĂ©jĂ  avec nous. Assise sur le canapĂ©, nous lisons pour la Ă©niĂšme fois les contes de Beedle le Barde. Enzo adore et je ne me lasse pas de satisfaire le dĂ©sir de lecture de mon petit garçon. Assise en tailleur, notre fils sur les genoux sa tĂȘte repose contre moi alors que je lui conte l’histoire qu’il aime tant. La main de mon cher et tendre viens se glisser sur ma hanche et sa bouche se pose sur mon cou, son souffle chatouille ma peau et un long frisson me parcours l’échine et un sourire Ă©tire mes lĂšvres. MalgrĂ© toutes ses annĂ©es je l’aime comme au premier jour. Il s’éloigne et je continue ma lecture quand soudain sa voix rĂ©sonne. Elina Je lĂšve le nez immĂ©diatement, je sens dans sa voix une tension que je n’avais pas entendu depuis bien longtemps. Son regard veut tout dire et je comprends, je comprends qu’il se passe quelque chose de grave et mon coeur s’accĂ©lĂšre. Il est face Ă  la porte et je parle doucement Ă  l’oreille de mon petit garçon. Mon bĂ©bĂ©? Ça te dit qu’on aille prĂ©parer une surprise dans le bureau de papa? On va aller lui faire un joli dessin tu lui donneras au diner. Mais chut il ne faut pas lui dire. Il ferme doucement le livre et on se lĂšve discrĂštement. Je sors ma baguette au cas oĂč. Un regard inquiet Ă  l’homme que j’aime j’escorte notre enfant en sĂ©curitĂ© dans le bureau de son papa. Notre seule issue de secours si jamais il y avait vraiment un danger. Le temps passe, Enzo dessine assis Ă  la place de son papa. Il adore faire ça et je guette le moindre bruit. Mais rien et je suis inquiĂšte. J’ai confiance en mon compagnon mais l’idĂ©e que nous ne soyons plus en sĂ©curitĂ© dans cette maison que j’adore me terrifie. Et puis soudain son patronus apparait. La voie est libre. Je respire de nouveau. Je fais mine de regarder l’heure et indique Ă  Enzo qu’il va ĂȘtre l’heure de manger et que l’on va redescendre dans le salon pour rejoindre papa. Il saute de la chaise et se prĂ©cipite, dessin Ă  la main, hors du bureau pour rejoindre son pĂšre. Lorsque j’arrive en bas j’ai la surprise de dĂ©couvrir trois personnes dans l’entrĂ©e. Des invitĂ©s
? Etrange, il me l’aurait dit. Je m’approche du petit groupe et glisse ma main dans celle de mon compagnon. Seule maniĂšre pour moi d’apaiser le reste d’angoisse qui subsiste aprĂšs cette fausse alerte. Bonsoir! Cheri tu ne m’avais pas dit que nous avions du monde ce soir
 sourire de mise pour les invitĂ©s et regard interrogateur Ă  l’attention de mon homme. Je n’y comprends absolument plus rien. Re [Habitation] Domaine GrisContenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum La rentrĂ©e des classes approche Ă  grands pas, mais les enfants ont souvent du mal Ă  prendre conscience du temps qui passe, surtout les plus jeunes. Un petit calendrier colorĂ© peut les aider Ă  faire le compte Ă  rebours des jours qui les sĂ©parent du retour Ă  l'Ă©cole ! Cela peut leur permettre de continuer Ă  profiter tranquillement des derniers jours de vacances jusqu'au bout sans pour autant avoir l'impression d'ĂȘtre surpris qu'on arrive dĂ©jĂ  Ă  la rentrĂ©e... DIY faire un calendrier compte Ă  rebours avant la rentrĂ©e AprĂšs le puzzle de bouchons rigolo et le jeu de domino Ă  faire soi-mĂȘme sur le thĂšme des vacances Ă  la mer, on craque sur le dernier tuto malin partagĂ© par Maeva sur son compte Instagram lesmercredissouslapluie. Ce compte regorge de jolies idĂ©es pour faire plaisir aux enfants, les occuper et les amuser tout au long de l'annĂ©e, et son dernier tuto DIY est trĂšs pratique pour faire un compte Ă  rebours chaque jour qui nous sĂ©pare dĂ©sormais de la rentrĂ©e. Le grand avantage de ce tuto, c'est que l’enfant peut placer son petit personnage rĂ©alisĂ© avec une photo de lui dans le calendrier, et Ă©crire au feutre ardoise combien de jours il reste avant la rentrĂ©e. C'est une bonne idĂ©e pour travailler les chiffres et lui faire prendre conscience du temps qu'il lui reste avant de retourner Ă  l'Ă©cole le tout dans le jeu et la bonne humeur ! Pour d'autres tutos rigolos qui vous aideront Ă  occuper les enfants pendant les jours de vacances ou les mercredis, ou bien pour prolonger encore un peu les vacances d'Ă©tĂ©, n'hĂ©sitez pas Ă  aller jeter un oeil Ă  ce jeu de dominos de la mer Ă  faire soi-mĂȘme et comment rĂ©aliser un puzzle de bouchons rigolo avec vos enfants. Lire aussi DIY voici comment rĂ©aliser une jolie montgolfiĂšre colorĂ©e avec vos enfants 10 idĂ©es pour occuper vos enfants Ă  l'intĂ©rieur, quand il pleut ou qu'on ne peut pas sortir au parc L'idĂ©e dĂ©co simple et pas chĂšre pour crĂ©er des tableaux colorĂ©s Ă  l'aquarelle et avec des feuilles de papier enroulĂ©es ClĂ©mence Je fais partie de la rĂ©dac' SBG, et j'aime Ă©crire, sortir, m'amuser, manger trĂšs important, ça aussi ! et partager. Je vous propose donc rĂ©guliĂšrement de dĂ©couvrir mes derniers coups de <3.

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